Si vous vous aventurez un jour du côte d;Uruapan,passez tout droit et depechez vous de rouler jusqu;a Angahuan.Il s;agit d;un petit village de tarascans, dont la langue principale est le purepecha.Ils habitent des maisonnettes de bois appelees TROYE.Les gens s;y promenent beaucoup a cheval.C;est par ce moyen de locomotion d;ailleurs qu;on peut atteindre et escalader (a pied) le volcan eteint Paricutin.Il fume encore sur sa face sud et des trous dans la lave durcie pourraient servir de cocotte pour les ragouts de Jacques.On peut aussi se laisser saisir par la façade de l;eglise de San Juan.Il n;en reste que la partie superieure et les clochers qui jaillissent au dessus de la pierre de lave noircie.Cette lave a submerge le village entre 1943 et 1952.Apres une nuit mouvementee, du fait de voisins fêtards jusqu;au matin, nous traversons lentement le village d;Angahuan, en route pour Aguascalientes.Dans les rues tres poussiereuses, le cheval est roi.Les cavaliers sont omnipresents.Sur les trottoirs, des femmes timides, avec leurs vêtements multicolores et chastes.A l;eglise, une foule sur le perron ecoute son cure.IL y a des fleurs et des balounes partout.C;est le dimanche des rameaux
Adios!
Therese et Luc.
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Luc B. de Passillé.
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Luc B. de Passillé.
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